Istanbul

Avril 2012: Istanbul. 3ème fois pour moi, 2ème pour mon amoureux.

Cette ville nous a pris dans ses filets!

Istanbul a un côté magique. Elle est immense et on ne ressent pas cette impression d'être dans une ville écrasante.

Chaque quartier d'Istanbul a son charme, son caractère, sa spécificité.

Istanbul peut-être très moderne, très orientale, ou aux confluents de deux civilisations.

Il y a l'Istanbul connu des touristes: Topkapi, la Mosquée Bleue, Sainte Sophie. Bien sur il y a du monde, mais qu'est-ce que c'est grandiose. 

Le Grand Bazar: impossible de s'en lasser, ses fresques, ses venelles, ses échoppes et leurs marchands.

Taksim: la moderne, la grouillante: hommes et femmes d'affaires, étudiants, fêtards.

Istiklal kadesi: les boutiques en tous genres, des vêtements dernière mode, des loukoums, des passages anciens.

Et puis il y a l'Istanbul qui se découvre, qui se dévoile: Eminonu et ses ruelles pleines de livreurs, de marchands en gros. Ortakoy, au bout de la ville, petit quartier très "quartier latin", avec ses terrasses au bord du Bosphore.

Ce Bosphore omniprésent qu'il faut prendre le temps de "sentir", avec son va et vient de cargos, de bateaux de promenades, de ferries. Ce Bosphore que l'on peut rester des heures à regarder, confortablement installé sur le Pont de Galata.

Le café Pierre Loti, au bout et tout en haut de la Corne d'Or, qui offre une vue incroyable.

L'église St Sauveur de Chora, si bien cachée que même les chauffeurs de taxi ne la trouvent pas toujours, et un peu hors du temps.

La rive asiatique, différente, sans que l'on ne sache dire pourquoi.

La croisière sur le Bosphore, toujours lui, pendant laquelle on peut admirer toutes ces maisons de bois qui ont du être très riches.

Istanbul ne peut se visiter en courant d'un monument à l'autre, Istanbul se ressent, quand on prend le temps.

A pied, en bateau, en taxi, en taxi collectif, en tram, en métro.

Les chats d'Istanbul, partout.

Si vous avez envie d'un peu de magie, allez à Istanbul!