02/06 - Guylaine
Nazare - 15h30 - Pasteleria
2 boissons et 2 gateaux: 3,90€
A Lisbonne on avait retrouvé des prix presque français, sortis de la capitale, les prix redeviennent portugais.
Vivre ici avec une petite retraite française doit permettre de vivre correctement.
Du mal avec la langue, j'alterne "merci", gracias", "obrigada", et "ola", "bom dia", "bonjour".
A midi il a fallu deviner les plats dans un restaurant style routier "à la bonne franquette".
Nazare, bord de mer, il doit y avoir du monde en été, mais là non.
Les vendeurs de bouées et matelas gonflables sont ouverts, au cas où.
Deux femmes sur des chaises, en bordure de la rue principale, proposent sur des petites pancartes des locations chez l'habitant.
03/06 - Guylaine
Coïmbra - 10h50 - un café
Séance cartes postales, l'inévitable.
Mais cela ne me déplait pas et j'aime prendre le temps de choisir les cartes.
Fraîcheur agréable. Le soleil sortira quand il voudra, notre peau se repose.
Le premier aperçu de Coïmbra donne envie d'en prendre plein les yeux, ça me plait!
03/06 - Philippe
Même heure, même endroit, en face de "Ourinesaria Costa" - 21°, nuageux
Séance cartes sous un parasol.
A la télé il n'y en a que pour Juan Carlos qui a profité de nos quelques jours d'absence de l'Espagne pour abdiquer en douce.
Je suis passé aux chaussures fermées. Ca sent le Nord.
03/06 - Guylaine
Coïmbra - 15h30 - Rue principale - Pasteleria
Après l'espèce de truc que l'on a en partie mangé à midi, on peut.
Deux pasteis de Belem, parce qu'après on aura du mal à en trouver.
Bon, Coïmbra passé la première impression: des merveilles d'architecture (très) vieille sur les hauteurs.
Les universités, magnifiquement conservées et parmi les plus anciennes d'Europe, voire du monde.
Sinon, on reste un peu sur notre faim.
Une rue piétonne grande et quelques petites, de belles façades, une petite église, véritable joyau à l'intérieur.
Mais tant de façades délabrées, tant de maisons à l'abandon dans une ville qui a un tel potentiel.
Oui, un peu de déception, espérons Porto.
03/06 - Philippe
Même heure, même endroit
Petit arrêt à la fin de la visite de la ville à flanc de colline, à une terrasse, pour déguster des pasteis.
Pas mal de touristes, superbe université au sommet de la ville.
Puis au fil de la redescente, le sentiment qui s'impose c'est que la crise est là depuis pas mal de temps déjà. Le temps qu'il faut pour que les façades se décrépissent faute d'entretien.
Cette sensation nous ne l'avions pas à Faro, mais elle s'impose au long de la remontée vers le Nord.
Porto, nous verrons demain...
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