J'ai de la chance (beaucoup), mon fils et
mon amoureux s'entendent comme larrons en foire, même si souvent c'est de moi
qu'ils se moquent (gentiment toujours).
Et je sais que Joan (mon fils donc) est heureux que j'ai trouvé à la moitié de ma vie quelqu'un avec qui je sois enfin bien, heureuse, comme je l'ai été avec son père.
D'ailleurs quand Philippe m'a demandé si je voulais me marier, une fois la surprise passée (pour moi c'était: me remarier, pourquoi faire?), je me suis dit pourquoi pas, mais il faut que Joan soit d'accord.
Et si les tourtereaux demandent à leurs parents ce qu'ils pensent de leur mariage futur, moi c'est à mon fils que je l'ai demandé.
Et c'est donc grâce à lui que Philippe et moi ne vivons plus dans le péché.
Je suis fière de mon fils. Fière de ce qu'il a retenu de l'éducation qu'il a reçue, fière de ne pas avoir fait un "modèle standard", une fashion victime ou un égoïste.
Joan est un peu à part, et je ne cache pas que c'est aussi une source de souci, mais s'il avait été trop "dans le moule", cela me gênerait.
Joan a pris de son père le goût des livres et de l'écriture, il a hérité de son humour, décalé souvent.
Et quand la mort a emporté son père, il a pris de lui-même un modèle de rigueur et d'originalité en même temps: Daniel.
Daniel qui était là quand Joan n'avait pas le goût d'avancer dans la vie et qui a su le secouer à bon escient.
Joan observe et souvent ne dit rien.
Il a un esprit d'analyse et un recul face aux évènements qui me surprennent souvent.
Il s'intéresse aux humains, notamment ceux avec qui il travaille.
Joan n'écoute pas ce qu'on lui dit, mais certaines choses font leur chemin dans sa tête sans que l'on ne s'en aperçoive.
Joan, malgré ses presque 34 ans, me prend encore dans ses bras, il me dit qu'il m'aime.
Et un jour il m'a remercié de ce que son père et moi lui avions apporté, et le bonheur d'entendre ça, je le souhaite à toutes les mères dignes de ce nom.
Mon fils est une part importante de mon bonheur, la plus grosse, et si quelquefois j'ai des moments de découragement face à la vie, je vais de l'avant car mon fils, qui n'a plus de père, doit avoir une mère solide.
Et je sais que Joan (mon fils donc) est heureux que j'ai trouvé à la moitié de ma vie quelqu'un avec qui je sois enfin bien, heureuse, comme je l'ai été avec son père.
D'ailleurs quand Philippe m'a demandé si je voulais me marier, une fois la surprise passée (pour moi c'était: me remarier, pourquoi faire?), je me suis dit pourquoi pas, mais il faut que Joan soit d'accord.
Et si les tourtereaux demandent à leurs parents ce qu'ils pensent de leur mariage futur, moi c'est à mon fils que je l'ai demandé.
Et c'est donc grâce à lui que Philippe et moi ne vivons plus dans le péché.
Je suis fière de mon fils. Fière de ce qu'il a retenu de l'éducation qu'il a reçue, fière de ne pas avoir fait un "modèle standard", une fashion victime ou un égoïste.
Joan est un peu à part, et je ne cache pas que c'est aussi une source de souci, mais s'il avait été trop "dans le moule", cela me gênerait.
Joan a pris de son père le goût des livres et de l'écriture, il a hérité de son humour, décalé souvent.
Et quand la mort a emporté son père, il a pris de lui-même un modèle de rigueur et d'originalité en même temps: Daniel.
Daniel qui était là quand Joan n'avait pas le goût d'avancer dans la vie et qui a su le secouer à bon escient.
Joan observe et souvent ne dit rien.
Il a un esprit d'analyse et un recul face aux évènements qui me surprennent souvent.
Il s'intéresse aux humains, notamment ceux avec qui il travaille.
Joan n'écoute pas ce qu'on lui dit, mais certaines choses font leur chemin dans sa tête sans que l'on ne s'en aperçoive.
Joan, malgré ses presque 34 ans, me prend encore dans ses bras, il me dit qu'il m'aime.
Et un jour il m'a remercié de ce que son père et moi lui avions apporté, et le bonheur d'entendre ça, je le souhaite à toutes les mères dignes de ce nom.
Mon fils est une part importante de mon bonheur, la plus grosse, et si quelquefois j'ai des moments de découragement face à la vie, je vais de l'avant car mon fils, qui n'a plus de père, doit avoir une mère solide.
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