4 avr. 2014

Réseaux sociaux, Google, Cloud, etc..

Nous sommes entrés il y a quelques années dans une nouvelle ère, « l’ère internet ».
Les débuts d’internet c’était le modem qui se connectait tout doucement avec un petit bruit caractéristique dont les plus de 30 ans se souviennent sans doute.
Ceux qui possédaient un ordinateur et un modem étaient des privilégiés, et lorsque la connexion était établie on craignait qu’elle ne s’interrompe à tout moment.
De temps en temps on s’aventurait à joindre une photo à un message, et la photo s’affichait tout doucement, plus lentement que celle du nouveau président à 20h un soir d’élection.
Pendant que nous étions connectés il était impossible de nous joindre par téléphone, et le téléphone portable n’étant pas aussi répandu qu'aujourd’hui, nous étions donc souvent injoignables, seuls devant notre écran d’ordinateur format vieille télé.
Puis certaines villes privilégiées ont été dotées du câble, qui permettait une connexion plus rapide mais qui était quand même sujet à des coupures intempestives.
Puis l’ADSL, toujours pour les privilégiés, puisque l’on était éligible ou non selon notre lieu de résidence.
Et puis aujourd’hui nous avons quasiment tous notre ordinateur de bureau avec un bel écran plat et/ou notre ordinateur portable qui par la magie du wi-fi se connecte un peu partout. Et même en vacances au bout du monde nous pouvons envoyer des photos en nombres pour faire rêver, ou râler, ceux qui sont restés chez eux.
Et si cela ne suffit pas, nous avons la tablette tactile, que l’on peut glisser dans son sac, et le fameux smartphone qui par la magie de la 3G, ou de la 4G en attendant les 5 & 6G, nous permet d’être toujours en contact avec le monde, où que nous soyons.
Bien que je connaisse encore quelques endroits perdus sans réseau, et où les gens vivent quand même, sans avoir l’air trop malheureux.
Et avec internet, les sites, au début peu nombreux, ont fleuris.
On veut en savoir plus sur quelqu’un : on tape son nom sur Google et, à moins que la personne ne pratique aucune activité et n’ai jamais participé à la moindre action, nous en savons toute de suite plus sur elle.
Et le plus souvent nous voyons qu’elle a un profil Facebook.
Et si nous sommes aussi sur ce « réseau social » à la fois décrié et libérateur pour certains, nous pouvons la demander en ami(e), et quelquefois le hasard nous fait retrouver des vieilles connaissances totalement perdues de vue.
Je suis sur Facebook et je trouve que c’est un excellent réseau de partage d’idées. 
J’y choisis mes ami(e)s. 
Et je participe à des discussions intéressantes ou très énervantes, selon les opinions de chacun.
Je sais que je suis « épiée », mais il se trouve que je ne pratique pas d’activité illégale, alors cela m’est égal. 
Certainement, cela permet d’en savoir beaucoup sur moi, mais ce que Facebook sait, les renseignements généraux le savent aussi, et eux sans mon accord.
J’y ai retrouvé des connaissances et renoué des amitiés, bref, je ne fais pas partie de ceux qui poussent les hauts cris quand on leur en parle.
Et quand un(e) ami(e) me laisse un commentaire gentil, me fait suivre une photo en sachant que je vais l’apprécier, cela me fait toujours plaisir.

Quant au Cloud, et autres Dropbox, cela est assez opaque pour moi qui ne comprends plus aussi vite que les « jeunes », mais je saurais bien m’en servir un jour si c’est utile, ou les ignorer si cela ne l’est pas.

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