06 mai - Philippe – 18h20 – Aéroport de Marseille
Taxi depuis la maison. Les gamelles des chats sont pleines
et Dédé est sur le coup pour le reste des 3 semaines où nous serons en Grèce.
Néanmoins, les chats faisaient la tête, ils n’aiment pas nos départs.
Hall d’embarquement en partie en travaux à l’aéroport. Il
est encore plus triste que d’habitude, et on met déjà la barre très bas.
Un signal sonore retentissant qui essaie de se faire passer
pour une cigale retentit dans la salle d’embarquement, ou ce qu’il en reste.
Vivement notre vol, annoncé avec une heure de retard.
07 mai – Philippe – 12h15 – place Métropolis à Athènes –
Beau et chaud
Ce matin, rencontre de notre « agent » Patrice,
fort sympathique, autour d’un « greek coffee » sucré « médios ».
Très bon jusqu’à la moitié de la tasse.
Guylaine – Même jour, même heure, même endroit
Partie de l’hôtel avec un petit pull qui était de trop.
Café avec Patrice sur la petite place derrière l’hôtel.
Très sympa Patrice, mais le café à la grecque (café turc
donc…) pas terrible.
Déjeuner sur une place très touristique dans Plaka, « le »
quartier d’Athènes où il faut se balader.
Dans les quartiers moins touristiques, tout est fermé, c’est
le « mardi de Pâques ». Pâques dure longtemps ici.
On maîtrise 4 ou 5 mots : kalimera, parakalo,
efcharisto, etc... On est bien.
08 mai – Guylaine – 16h05 – Hard Rock Café – Quartier Monastiraki
– Température idéale
La flamme olympique est à Marseille et nous à Athènes, et c’est
très bien comme ça !
Ce matin, bus 3, et on est descendu au bon arrêt : trop
forts !
On a vu les gardes en jupettes et chaussures à pompons se
relayer dans une chorégraphie très étudiée.
Puis bus hop-on/hop-off. Descente à l’arrêt Acropole, mais
nous prenons l’autre côté de la colline, et contents, car ça fourmille du côté
touristico-archéologique.
Reprise du bus pour sortir d’Athènes vers les plages.
Banlieue où les maisons auraient bien besoin d’être retapées
(au moins), puis banlieue chaude avec enseignes suggestives, puis banlieue chic
avec grandes enseignes et résidences de standing.
Et travaux partout, Athènes s’étale.
La mer et des baigneurs.
Athènes : bruyant, pollué, et manque d’entretien
évident. Mais des quartiers bien sympas.
Même jour – Philippe – 16h25 – soleil
Les nuits sont fraîches et la couverture est fine.
Ce matin, bus vers Syntagma et la relève de la garde. Grand
moment de chorégraphie et d’équilibre en chaussures à clous, et synchronisation
des raclements de godillots à pompons et de crosses de fusil qui tapent sur le
sol très usé.
Bus touristique pour balade et vue sur le Parthénon, puis
re-bus vers les plages.
10 mai – Philippe – 17h10 – Tolo, à 10 km de Nauplie où nous
sommes pour 3 nuits
Première éclaircie de la journée.
Nous venons de passer devant l’hôtel Solon, à l’entrée de
cette petite ville – station balnéaire qui donne directement sur la
Méditerranée toute transparente.
En face, une petite île qui se dore au soleil. Les bateaux
blancs sont bercés par une petite houle.
Très peu de touristes en ce début mai.
Hier l’arrivée à Nauplie était pluvieuse.
Le centre ancien est piéton, et notre 3008 de location est
grosse : stress. Mais grand parking gratuit. Nous ne sommes pas en France.
Hôtel ancien en bois grinçant, mais décoré avec goût.
Nous nous détendons après Athènes bruyante et plutôt moche,
et une banlieue qui n’en finissait pas, malgré une circulation fluide.
Nous sommes enfin dans la Grèce que nous cherchions.
Guylaine :
Petit coup de mou hier : voiture et téléphone non
compatibles, un bon vieux Tomtom emporté par prudence nous a bien aidé.
Sortir d’Athènes, pas facile. Et des kilomètres de route
moche. Arrivés à Nauplie sous la pluie.
Mais la petite rue de notre charmant hôtel, le port en face,
ça va mieux.
Et ce matin balade dans la vieille ville avec un crachin et
une agréable fraîcheur. Nauplie me plait, c’est ça la Grèce que je voulais
voir. Et il y en a encore beaucoup à voir !
Et puis il y a des chats partout, j’adore !
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